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« La politique n’est pas et n’a jamais été une question rationnelle. Elle n’est, en définitive, qu’une affaire de tripes et de coeur. Et c’est peut-être mieux ainsi. »
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« Sans égo, impossible de survivre dans ce milieu à la limite du mafieux où les ambitions, profondes et démesurées, s’abrasent et s’écrasent, s’engloutissent parfois ou s’entrechoquent dans une tectonique à la violence inouïe. »
Par ces mots, Sibi, narrateur tiraillé et candidat à la présidentielle d’un pays d’Afrique de l’Ouest, nous plonge dans l’intimité d’une campagne où son destin et celui de sa famille sont mis en péril et ne tiennent plus qu’à un fil, celui du secret. Le dernier des arts est un roman riche et intimiste qui nous invite à réfléchir au véritable sens de l’engagement. Il nous donne à voir l’envers du décor de la scène politique comme nous ne l’avons peut-être encore jamais imaginé…
Né en 1987 à Dakar, Fary Ndao vit au Sénégal où il écrit et travaille dans le secteur énergétique. Il est l’un des co-auteurs de l’ouvrage collectif Politisez- vous ! (United Press, 2017) et a publié un essai, L’or noir du Sénégal, en 2018. Le dernier des arts est son premier roman.
Parce qu'aux Antilles, il n'y a pas que les odeurs de sucre et de vanille, le soleil brisé c'est aussi la chronique d'une île en proie au désespoir, avec ses misères sous le soleil, ses tourments politiques et ses amours déphasés
Ce roman est à la fois un cri de révolte, un chant tendre et une parole d'espoir.
Lucien Samba-Kifwani scrute minutieusement un univers social, en inventorie les particularités et subtilement, de la façon la plus élégante, fait d'une réflexion sur le travail temporaire un récit dont la force provient de sa plongée dans l'expérience d'un vécu profondément humain! De sorte que l'immigration échappe à toute saisie abstraite...
Cet ouvrage décrit la vie quotidienne au Soudan français, sous le régime colonial, ainsi que l'influence plus ou moins néfaste qu'exerçaient et que continuent d'exercer les sorciers, féticheurs et autres "connaisseurs des choses cachées", sur la mentalité des populations du Mali profond.
Dans ce premier roman publié sous le pseudonyme d'Eza Boto, le lecteur découvrira, tracés avec une force qui s'accomplira exemplairement dans les œuvres postérieures, fort célèbres, de Mongo Béti, les drames d'une Afrique dominée, ceux qui opposent les humbles, les simples, les paysans, aux différents types d'exploiteurs du monde politique, économique et religieux.
Le Masque de chacal est un ouvrage dans lequel le lecteur serait tenté de voir un tableau fidèle de la vie quotidienne des quinze dernières années au Congo. Tout dans le récit semble inviter à une telle lecture ...
Condamnés pour blasphème, pour avoir affiché du mépris envers la culture africaine et désacralisé l'oralité, les deux protagonistes doivent se rééduquer dans des hauts lieux de culture du continent. Il nous relatent ici ce que fut cette désaliénation dans ces sanctuaires du savoir.
Six amis d'enfance se retrouvent après avoir pris des voies différentes. L'un d'eux, Basile, a émigré. Ceux qui sont restés au pays ne se voient plus que rarement, les uns et les autres n'étant plus du même milieu. ...
Quelle fresque admirable ce roman dont le principal décor en est une forteresse, Kalaat, où vivent et meurent des personnages au coeur de granit, foisonnent d'autres, égrenant leurs souvenirs aux vents du désert. Métaphoriquement, elle signifie que tout se délite, même les sentiments les plus puissants. Autour de Kalaat, non loin de la table de Jugurtha, hyènes et chacals rôdent...
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