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PRIX ETHIOPHILE 2024
PRIX DES CINQ CONTINENTS DE LA FRANCOPHONIE 2024 (mention spéciale)
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Finaliste PRIX ALAIN SPIESS 2023
Un après-midi de janvier 2017, un jeune réfugié gambien se jette dans le Grand Canal de Venise et se noie sous les regards et les insultes des passants. Il s’appelait Pateh et avait vingt-deux ans. Hanté par ce drame, un jeune écrivain se lance sur ses traces et tente de reconstruire le fil des événements, de mettre en mots son choc et son indignation. Dans un récit en fragments où s’entremêlent fiction et réalité, le narrateur consulte les sites d’information, cherche des indices dans la presse, dévoile des vérités enfouies dans les pages de l’histoire et de la littérature. Au fil d’une quête riche en surprises et en émotions, d’autres histoires se greffent à la première pour sauver de l’oubli des jeunesses noyées dans le tourbillon de l’actualité. De l’Afrique des racines et des ruptures à la Venise des mythes et des illusions, l’écriture est à la fois poétique et solidaire : elle dénonce la haine de l’autre et esquisse un mémorial littéraire pour la dignité humaine.
Né à Rabat en 1986, Khalid Lyamlahy est maître de conférences en littératures francophones à l’Université de Chicago aux États- Unis. Il a publié Un roman étranger en 2017 aux Éditions Présence Africaine. Évocation d’un mémorial à Venise est son deuxième roman.
Ce roman rend hommage à José Leandro Andrade, qui a marqué les esprits lors de son passage en France en 1924. La publication du livre en 2024 coïncide avec les Jeux Olympiques de Paris, célébrant ainsi le centenaire de cet événement historique.
Sous l'orage : d'une part, le poids du passé, l'autorité de la tradition, le prestige des anciens, d'autre part, l'appel de temps nouveaux, l'ouverture et les émois de la jeunesse : la profondeur millénaire de l'Afrique et les horizons stimulants dévoilés par d'autres formes de savoir, ce débat est celui des pères et des fils, et tel est l'orage subi par les peuples africains.
Grand classique de la littérature antillaise, dans lequel Joseph ZOBEL, à travers le récit de sa propre enfance, nous décrit la Martinique des années 30, en peignant avec la mémoire du cœur et des blessures, la vaillance, la dureté et la tendresse des descendants d'esclaves acharnés à bâtir pour leurs enfants un pays plus libre et plus généreux.
Bantouville, capitale coloniale africaine en plein coeur de l'Europe Occidentale Baoulienne, n'a jamais existé - cela va de soi. A la rigueur, pourrait-on l'imaginer comme une extravagante " chambre noire " qui, suite au mariage absurde entre un révélateur périmé et un fixateur hors d'usage, ne saurait produire que des clichés encore plus absurdes. ...
Une réédition qui permet aussi de redécouvrir la beauté d'une écriture réussissant 1'équilibre précaire entre témoignage « choc » et transparence lumineuse des paysages d'enfance.
Il était une fois - à Médina, dans un quartier moyennement bourgeois de la capitale - un homme qui avait su cristalliser sur lui tous les regards, toutes les amitiés, toutes les envies et toute la considération que confère la possession d'un château, de grandes terres, d'une femme ou d'une voiture de luxe, et cela grâce seulement à sa poubelle.
Faatu, le personnage féminin de ce roman de Cheik Aliou Ndao, n'aurait-elle qu'une existence vouée aux plaisirs interdits, au vice et à la débauche? Dans ce livre, l'auteur scrute la conscience de son personnage et fait du tissu narratif même de son récit la réponse à la question qu'il feint de nous poser... Dès lors, il peut s'adresser directement à son personnage de façon à nous faire entrevoir la nature exacte de son débat intérieur : "Que cherchait Faatu? Que demandait-elle à la vie? Quels comptes avait-elle à régler avec l'existence? Une drôle de sensation l'emportait ce matin vers son passé, ses années de jeunesse à Dakar. Il lui était difficile de savoir s'il s'agissait d'un rêve ou dialogue conscient avec ce temps-là " Cette façon aiguë, intense d'invoquer le temps, va être à l'origine d'une prise de conscience telle que Faatu, fortune faite, délaisse les voies si envoûtantes des plaisirs mondains pour se mettre à l'écoute d'une voix pathétique, silencieuse et profonde venue de La Mecque. Cheik Aliou Ndao renouvelle à sa manière le thème éternel mais toujours présent du combat entre les exigences de la chair et l'élan de l'Esprit.
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