
Dans le Saint-Louis du Sénégal du XIXe siècle, « raparille » du portugais « rapariga » (adolescente), désigne « une petite esclave ».
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Dans ce nouveau livre, Fadel Dia évoque son enfance dans un village peul, berceau de sa famille, sur la rive gauche du fleuve Sénégal, au Fouta Toro, au « temps des Blancs ». La vie y était lente et tendre. Les travaux et les jours, les fêtes et les saisons, les relations familiales et sociales, étaient régis par des normes héritées d’une tradition plusieurs fois séculaire. Émouvantes de sincérité et de pudeur, ces pages racontent l’intimité de cette communauté familiale dont les membres, éminents ou modestes, jeunes ou anciens, sont tous les obligés les uns des autres, soudés par leur attachement à leur mode de vie, par le respect des bienséances et de l’honneur, par la fidélité à leur culture, au pulaagu et à leur foi.
Fadel Dia est né à Ndioum, dans le nord du Sénégal. Historien et géographe de formation, il a été chef du département de géographie à l'École Normale Supérieure de Dakar, avant d'occuper diverses fonctions nationales et internationales. Il est l'auteur d'essais, de romans et de chroniques publiées dans des périodiques sénégalais.
Fadel DIA né au Sénégal, est géographe et historien de formation. Il a été secrétaire général de la Conférence des ministres de l’Education ayant le français en partage.
Dans le Saint-Louis du Sénégal du XIXe siècle, « raparille » du portugais « rapariga » (adolescente), désigne « une petite esclave ».
Jagua Nana, une Ibo de la région d'Onitsha, est maintenant établie à Lagos, ville bouillonnante de vie et d'intrigues. Prostituée voluptueuse, Jagua recherche la sécurité dans la fréquentation de l'élite et le plaisir dans celle des boîtes de nuit. Elle est amoureuse de Freddie, un jeune instituteur qu'elle aide à payer des études de droit à Londres. ...
Dans le Saint-Louis du Sénégal du XIXe siècle, « raparille » du portugais « rapariga » (adolescente), désigne « une petite esclave ».
Le vieux Kokè reçoit un étranger qu'il accueille avec toute la courtoisie qu'exige l'usage. Qu'un homme dans la force de l'âge se déplace en cette période de travaux champêtres, voilà qui intrigue Kokè. Il voudrait bien savoir les raisons de cette présence pour le moins insolite, mais la bienscéance lui interdit de poser des questions précises. L'étranger en tire avantage pour maintenir son hôte dans le doute en se réfugiant derrières des formules sibyllines : " Si l'on voit un oiseau s'envoler de son refuge la nuit, c'est qu'il a touché à quelque chose - ou que quelque chose l'a touché. J'ai décidé d'ôter mes jambes de dessous mon ventre, de chasser l'air sous mes pieds... pour m'aérer un peu l'esprit... quand la bouche parle l'esprit fait le reste ". Il faudra toute l'amitié de Diamory, frère cadet de Kokè, pour arracher à Maso le secret de sa présence et dévoiler la histoire d'un homme issu d'un ménage polygame, victime de l'apathie de son père et exposé aux méchancetés de sa marâtre. L'amitié lui apportera l'apaisement tant attendu, mais il sait que " le plaisir du voyage est dans le retour "
Lucien Samba-Kifwani scrute minutieusement un univers social, en inventorie les particularités et subtilement, de la façon la plus élégante, fait d'une réflexion sur le travail temporaire un récit dont la force provient de sa plongée dans l'expérience d'un vécu profondément humain! De sorte que l'immigration échappe à toute saisie abstraite...
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