De 1959, date des Indépendances des territoires de l'Afrique occidentale française, à aujourd'hui, des milliers de familles paysannes de douze Etats ont construit leur mouvement, le Réseau des Organisations Paysannes et des Producteurs d'Afrique de l'Ouest (ROPPA). On parle aujourd'hui beaucoup des Organisations Paysannes (OP) structurées du village au niveau national et dans les reseaux couvrant plusieurs pays. Mais, ce ne sont pas des initiatives tombées du ciel. Elles ont leur histoire. Ce livre la raconte.
De 1959, date des Indépendances des territoires de l'Afrique occidentale française, à aujourd'hui, des milliers de familles paysannes de douze Etats ont construit leur mouvement, le Réseau des Organisations Paysannes et des Producteurs d'Afrique de l'Ouest (ROPPA). On parle aujourd'hui beaucoup des Organisations Paysannes (OP) structurées du village au niveau national et dans les reseaux couvrant plusieurs pays. Mais, ce ne sont pas des initiatives tombées du ciel. Elles ont leur histoire. Ce livre la raconte.
En 1974, Mamadou Cissokho a choisi de laisser sa craie de jeune instituteur pour devenir paysan au sein d'une exploitation familiale qu'il crée à Bamba Thialène (à 400 km de Dakar) au Sénégal. Dans ce village, des paysans l'accueillent et lui font confiance. Depuis lors, il est la cheville ouvrière du mouvement paysan en Afrique de l'Ouest. Fin 2008, ses pairs d'Afrique du Sud, de l'Est et du Centre, lui ont confié le soin de fonder la Plateforme panafricaine des paysans et des producteurs d'Afrique.
Culture des peuples du Bénin L'auteur dresse un bref panorama historique et social du Bénin, où cohabitent diverses ethnies dans un équilibre séculaire parfois fragile. Il recense ses richesses touristiques, artistiques, littéraires, culinaires, linguistiques, intellectuelles avec le désir de provoquer la curiosité du lecteur et de susciter son respect pour ce petit pays de contrastes.
Comme un atome qui se détache de la matière, l'Afrique dans un élan de libération opère des mouvements disparates similaires à une révolution galaxique. Le présent ouvrage aborde des thèmes très différents ce ne sont en fait que les niveaux successifs d'une même réalité. Ce rythme syncopé, ces brusques changements de ton et de thèmes, ont pour but de traduire les pulsions désordonnées d'un monde dans lequel sont plongés les peuples noirs et auquel ils réagissent. La première partie est liée à mon activité de reporter, qui m'a fait toucher, au Soudan et à Harlem, un des fonds de la tragédie des peuples noirs ; par ce contact et cette communion, j'ai compris que la dimension particulière de notre monde ne peut être appréciée aux étalonnages des autres aires de civilisation. La seconde et la troisième partie en découlent : c'est un essai, un regard porté sur la trajectoire originale de notre monde lancé dans la course des temps actuels. Une nouvelle Afrique est en train de naître. Dans la dernière partie, je réponds aux questions qui m'ont souvent été posées en fonction de mes écrits antérieurs et de mon engagement vis-à-vis de mon pays durant les dix dernières années.
Avec la misère qui s'accroît sur le continent africain, s'élargit le spectre des conflits et des maladies, mais on assiste aussi à une dangereuse détérioration du cadre de vie, fragilisant de plus en plus de monde.
Bekolo-Ebe Bruno oblige les économistes internationalistes à élargir leur vision et leur étude de l'efficacité de l'aide en intégrant dans leur théorie de l'endettement extérieur la perspective des sous-développés partenaires et même bénéficiaires présumés de cette aide et donc responsables principaux de ses conséquences, dont l'endettement est l'une des plus manifestes.
Préface de Joseph Ki-Zerbo. Abdou Moumouni dresse d'abord un bilan historique : il rappelle ce que fut le système d'éducation traditionnel et ce qu'il supposait d'humanisme spécifiquement africain. Il expose ensuite les données du système d'éducation tel qu'il fut appliqué sous le régime colonial. Il trace ensuite en détail les lignes d'un véritable système d'enseignement, qui tienne compte à la fois des caractères traditionnels africains et des nécessités urgentes de l'essor que doivent prendre les pays d'Afrique. En rédigeant ce plan immédiatement applicable, l'auteur apporte ainsi à la cause de l'indépendance africaine une contribution capitale.
Lorsqu'au XIIIe siècle, Madagascar reçut son nom de l'explorateur vénitien Marco Polo, il est fort probable que ce nom ait été le résultat d'une erreur d'interprétation. ...
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