Sous l’effet du processus d’urbanisation lié à la mondialisation, le Sénégal, à l’instar des autres pays d’Afrique, vit un bouleversement profond de ses modes de vie. Or le passage d’un mode de vie rural à un mode de vie urbain a des conséquences bioculturelles notables sur le corps et sa corpulence. Certains facteurs favorisent le surpoids et l’obésité tandis que d’autres conduisent paradoxalement à une valorisation presque extrême de la minceur. À travers une enquête ethnographique minutieuse auprès de la population sénégalaise, rurale et urbaine, vivant dans l’espace wolophone, cet ouvrage vise à éclaircir le processus qui conduit nombre de populations à abandonner un engouement social pour l’embonpoint, au profit d’un culte de la minceur.
Emmanuel Cohen, chercheur au CNRS et chercheur honoraire à l’Université du Witwatersrand de Johannesburg, est anthropologue. Il travaille dans une perspective bioculturelle sur les conceptions et les changements biologiques du corps, dans un contexte d’urbanisation notamment en Afrique.
M. M. DIABATÉ traduit fidèlement dans ce recueil les belles chansons des aèdes, dont il descend. Il s'agit de chants épiques et de chants populaires des pays de la savane. Janjon, qui donne son nom à ce recueil, est un chant appartenant au cycle épique de Soundjata.
Bekolo-Ebe Bruno oblige les économistes internationalistes à élargir leur vision et leur étude de l'efficacité de l'aide en intégrant dans leur théorie de l'endettement extérieur la perspective des sous-développés partenaires et même bénéficiaires présumés de cette aide et donc responsables principaux de ses conséquences, dont l'endettement est l'une des plus manifestes.
Lorsqu'au XIIIe siècle, Madagascar reçut son nom de l'explorateur vénitien Marco Polo, il est fort probable que ce nom ait été le résultat d'une erreur d'interprétation. ...
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