- Rupture de stock
- Home
- Actualités add remove
- Nouveautés
-
Catalogue
add remove
- La Revue add remove
- Cartes cadeaux
- Autres éditeurs add remove
- Auteurs
- Présence Africaine add remove
- URPA add remove
- HISTORIQUE
- Home
- Actualités add remove
- Nouveautés
-
Catalogue
add remove
- La Revue add remove
- Cartes cadeaux
- Autres éditeurs add remove
- Auteurs
- Présence Africaine add remove
- URPA add remove
- HISTORIQUE
Le prince Razaka
ISBN: 2708705830- Donnez votre avis
Ce récit tente de ressusciter la péripétie de ce destin tragique et de contribuer à arracher de l'oubli un épisode méconnu, quasi mythique de l'histoire malgache du XIXe siècle.
Livraison partout dans le monde
Port offert en Europe à partir de 30€
Retrait gratuit à Paris
Paiement sécurisé
Radama I fut le premier roi malgache à s'éprendre des valeurs de la société occidentale. Il imposa des réformes hardies et novatrices. Elles lui valurent la haine du clan fanatique des conservateurs. Ce récit tente de ressusciter la péripétie de ce destin tragique et de contribuer à arracher de l'oubli un épisode méconnu, quasi mythique de l'histoire malgache du XIXe siècle.
Jacques Rabemananjara est un écrivain et homme politique malgache de langue française, auteur notamment de Sur les marches du soir, qui fut l'une des grandes figures du monde politique et littéraire de Madagascar. Il est né en 23 juin 1913 à Maroantsetra et est décédé le 2 avril 2005 à Paris.
Héros de l'indépendance malgache, Jacques Rabemananjara, un des fondateurs du MDRM (Mouvement Démocratique pour la Rénovation Malgache), élu député de Madagascar en 1946, fut condamné aux travaux forcés pour les rébellions de 1947 dirigés par le MDRM puis amnistié en 1956 ; il ne regagna son île qu'en 1960. Il y fut alors député, ministre et vice-président sous le régime de Philibert Tsiranana, avant de s'exiler à nouveau en France après la révolution de 1972.
Thank you for the reviews ! Your comment is submitted
6 autres livres du même auteur
16 autres livres dans la même catégorie :
De toutes les parties du monde, l'Afrique est le seul continent où États, peuples et communautés, cultures et civilisations, se sont laissé endormir dans la nuit des temps, alors qu'ailleurs, tout le monde est resté éveillé et actif. Résultat, l'Afrique s'est exclue des centres nerveux où se décident non seulement les affaires du monde, mais également son propre destin.
La geste de Toussaint-Louverture que propose ici Aimé Césaire s'étend au-delà des limites de l'histoire d'Haïti et de son émancipation ; elle constitue un temps fort de l'histoire universelle.
L'histoire de l'Afrique noire médiévale entre Tombouctou, Gao et Djenné
FORMAT POCHE
Au procès de Klaus Barbie, à Lyon, en 1987, l'espèce humaine tout entière était supposée partie civile.
[. ] Pour l'accusation, pour les parties civiles, pour les témoins à charge, pour tous ceux qui, dans la presse ou dans la grande salle du Palais de justice, attendaient, réclamaient et applaudirent la condamnation, l'ancien SS n'était rien de moins que la figure emblématique du Mal...
Cet essai est un effort d'analyse sur une question centrale du devenir collectif des sociétés et des peuples africains.
La vie d'Abraham Hanibal est un véritable roman d'aventures. Enlevé de Logone au nord de l’actuel Cameroun en 1703, Abraham Hanibal (1696-1781) devient page du sultan ottoman Ahmed III à Constantinople. Il est converti à l'islam et reçoit le prénom d'Ibrahim. Mais à la fin de l'année 1704, il est conduit clandestinement en Russie à la Cour du tsar Pierre le Grand avec la complicité de son ambassadeur Pierre Tolstoï.
L'enfant noir, rebaptisé Abraham et converti à la religion russe orthodoxe, devient le fils adoptif puis un proche collaborateur du tsar. De 1717 à 1723, il est envoyé en France où il obtient son diplôme d'ingénieur militaire et le grade de capitaine d'armée. Deux ans après la mort de Pierre le Grand en 1725, il est exilé dans l'enfer sibérien par le prince Menchikov. Par bonheur, l'impératrice Anne le fait revenir trois ans plus tard lorsqu'elle monte sur le trône...
Où va l'Algérie ? La question posée il y a plus de trente ans par Mohamed Boudiaf a survécu à son auteur et concentre à elle seule toutes les interrogations suscitées par la situation dramatique que connaît le pays...
Dans Impérialisme et théories sociologiques du développement, Babacar Sine a tenté une critique des catégories idéologiques à travers lesquelles la sociologie dite " développementaliste " analysait les sociétés qualifiées, avec réalisme, de périphériques.
Avec : Le marxisme devant les sociétés africaines contemporaines, il poursuit son effort de clarification théorique des concepts marxistes.
Après plus de cent ans de colonialisme, c'est maintenant que le plus dur commence pour cet immense pays, disposant de nombreux atouts à faire valoir et de nombreux défis à relever.