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« Quel est le prix d’une bonne action ? »
« Faut-il garder pour soi le fruit du labeur des autres ? »
Que ce soit pour venir en aide au jeune Goné à la merci de Diassigue-le-Caïman, ou pour jouer un tour à son oncle Bouki, Leuk-le-Lièvre n’hésite pas à utiliser sa ruse pour intervenir dans les affaires des autres. Dans ces deux contes adaptés des écrits de Birago Diop, les bonnes actions sont récompensées comme il se doit et ceux qui refusent de partager leur butin s’en mordent les doigts.
NOUVELLE EDITION
Né au sein d'un peuple qu'un long exode achemina sur les rivages d'une mer vaste et insondable, N'Galka descend en droite ligne d'une famille illustre et légendaire. Merveilleux pêcheur et lutteur grandiose et majestueux, il épouse un jour une jeune et belle étrangère...
Il était une fois un petit garçon qui s'appelait Zima. Il habitait une belle terre couverte de palmiers, ciel bleu, soleil de feu. Zima conversait souvent avec le soleil : "Qu'y a-t-il de l'autre côté des montagnes, au-delà de la nature verte ?, lui demandait-il. -La mer, répondait le soleil. - La mer "
Ize-Gani, pas plus gros que le gros doigt de sa mère, est un conte sans doute, mais aussi la Tradition, la Réalité qui se traduit en "scènes fantasmagoriques" qui naissent de l'imagination, de nos souvenirs déposés intacts dans chaque pli de notre esprit créateur. Suivez Izé-Gani dans le Temps, il vous guidera, il vous dira le secret de sa merveilleuse aventure. Je vous laisse en sa compagnie.
" Soundiata, Samory, Samba Galadiégui et tant d'autres sont des personnages qui ont existé, et si leur histoire est à l'heure actuelle fortement teintée de légende, on le doit à la tradition orale qui, en transmettant l'histoire d'une génération à l'autre, contribue à l'embellir en y ajoutant le merveilleux. "
Constantin KAÏTERIS poursuit avec ce livre l'entreprise de la vulgarisation commencée dans son ouvrage précédent Contes d'Ethiopie, publié en 1999. Il nous propose ici de lire les contes populaires recueillis dans ce vaste pays situé dans la corne de l'Afrique, berceau d'une longue et solide tradition culturelle, et d'une ancienne civilisation noire. L'Auteur a voulu que les contes reflètent la diversité culturelle et linguistique de l'Ethiopie.
André Raponda Walker est allé recueillir ces contes directement auprès des conteurs traditionnels du Gabon. Ils représentent un large échantillonnage des différentes régions de ce pays. Les animaux parlent, les morts ressuscitent, les sorciers et les esprits secourent ou attaquent les héros...
Le texte de Ngando qui, dans la présente édition, s'accompagne de deux autres récits, " Faire médicament " et " Londema, suzeraine de Mitsoué-ba-Ngomi ", a été publié pour la première fois en 1949.
Ize-Gani, pas plus gros que le gros doigt de sa mère, est un conte sans doute, mais aussi la Tradition, la Réalité qui se traduit en "scènes fantasmagoriques" qui naissent de l'imagination, de nos souvenirs déposés intacts dans chaque pli de notre esprit créateur. Suivez Izé-Gani dans le Temps, il vous guidera, il vous dira le secret de sa merveilleuse aventure. Je vous laisse en sa compagnie.
" Teret, teret lam beberet.
Fable, fable, vache dans l'étable. " Ainsi commence traditionnellement le conteur amhara. Ces contes ont été recueillis en Éthiopie, racontés par des enfants, des femmes et des hommes de tous âges, de la campagne ou de la ville, lettrés ou non, ou dans des recueils en amharique puis réécrits ici pour le plaisir des lecteurs. Nulle veine fantastique, nulle communication avec l'invisible, ni démons, ni transformations magiques dans les contes éthiopiens réunis ici, mais un monde à l'échelle humaine d'une société paysanne où la vie est rude mais où l'on peut s'amuser des naïfs et surtout des fanfarons.
C'est le monde des hauts-plateaux d'Ethiopie. Ici comme dans tous les contes, les animaux parlent, s'affrontent, rusent et connaissent des joies et des peines semblables à celles des hommes. Et quand ils sont entre eux, on retrouve cette obstination qui permet à ceux qui sont petits et rusés, chacal ou singe, de faire face à la force de la panthère et du lion en utilisant l'orgueil ou la gourmandise de leurs adversaires.
Le lecteur doit être curieux de savoir qui était ce cavalier- appelé Blissi - qui semait la terreur dans Ségou, capitale de l'Empire Bambara.
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